Attention, relooking : 3 de nos recettes arborent un tout nouveau visage !

Chez Lökki, on aime la nouveauté !

Des formats qui augmentent, des nouvelles recettes… et aujourd’hui nous poursuivons sur notre lancée avec un contenant totalement inédit : la canette ! 

Avant toute chose, pas de panique !
Les canettes ne viennent pas remplacer nos bouteilles en verre. Elles viennent juste en complément.

La même qualité, dans un tout nouvel écrin

Pour l’été 2022, nous déclinons 3 de nos recettes en format canette (et ça rime) : le kombucha Hibiscus-Rose-Timur, le kombucha Gingembre-Tulsi et le kombucha Maté-Agrumes. C’est la même recette, mais pas le même emballage. Et pour cause ! Ces canettes seront à retrouver à la table de vos cafés et restaurants préférés dès cet été.

📸 Photographe : Laura Jonneskindt

Un format pratique, oui, mais sans faire de concession sur l’écologie !

L’éco-conception est au cœur de nos priorités lorsque nous réfléchissons à nos nouveautés. Depuis nos débuts nous proposons nos bulles dans des bouteilles en verre, matériau recyclable à l’infini et pour lequel la filière de recyclage est très mature.

Aujourd’hui, on se lance un nouveau défi : casser les a priori et faire bouger les consciences sur cet autre matériau qui vaut vraiment la peine d’être valorisé étant donné sa recyclabilité !

La première chose à savoir : le métal se recycle à l’infini

Notre canette est en aluminium et conçue pour durer. L’aluminium est 100% recyclable, sans perte de ses qualités physico-chimiques. Eh oui !

Mais aujourd’hui, en France, ce sont un peu moins de 7 canettes sur 10 (67%) qui sont recyclées. Beaucoup de consommateurs ignorent encore que le métal est recyclable à l’infini, ils le mettent donc dans la poubelle d’ordures ménagères… ce qui explique que le taux de recyclage soit inférieur à celui du verre (qui est d’environ 85%).

On se donne donc pour mission de répéter, encore et encore, que ce soit à nos clients restaurateurs ou à n’importe qui (une petite mamie dans la rue, ça fonctionne aussi, mais on risque de lui faire peur) : OUI, les canettes se recyclent et elles sont à placer dans le bac de tri après usage !!!

Pour citer Seb, notre magic maker à nous : « Nos canettes sont immortelles tant que vous les mettez dans le bac de tri ! »

Si vous avez l’œil, vous verrez sur nos canettes les 2 logos suivants :

recyclage-02

Le point sur le bilan carbone : du verre ou du métal, qui sera le champion ?

D’accord, le métal se recycle. Mais cela ne revient à s’intéresser qu’à la fin de son cycle de vie, on s’est donc intéressé au tout début : l’extraction.

Il se trouve que l’extraction de l’aluminium est plus énergivore que celle du verre, comme nous le confirme la base de données carbone reprenant les facteurs d’émission massique lors de la fabrication des matériaux proposée par l’ADEME* :

  • La production de verre d’emballage émet 0,81 kgCO2e / kg de verre d’emballage
  • La production de métaux ferreux issus de matière primaire « vierge » émet 7803 kg CO2e par tonne, soit 7,8 kg CO2e / kg d’alu

Mais attention : cela ne veut pas dire qu’une canette de 33cl est moins écologique qu’une bouteille en verre de 33 cl pour autant.

Et voici pourquoi : pour la même fonctionnalité (c’est-à-dire mettre à disposition du consommateur 33 cl de kombucha), on ne va pas utiliser la même quantité de matériau. A contenance égale (33 cl), notre bouteille en verre pèse 150 grammes alors que notre canette pèse 15 grammes, on utilise donc 10 fois plus de verre que d’aluminium pour un même volume de kombucha, ce qui change carrément la donne. Conclusion : dans notre cas, produire une canette génère 17% de CO2e de moins que de produire une bouteille en verre. Et encore, cela vaut quand l’aluminium est vierge. On peut s’attendre à un résultat plus vertueux avec de l’aluminium recyclé. L’impact du transport est aussi à ne pas négliger, même s’il est difficile à chiffrer : l’aluminium est moins lourd à transporter que le verre.

Et pour finir, le petit point santé

Avis à tous les palais raffinés de nos Lökki lovers, vous retrouverez toute la subtilité de nos recettes dans ce nouveau format ! Aucun transfert ni modification de goût avec le métal, promis, on ne rigole pas avec le plaisir, ni avec la santé par ici.

On espère que nos canettes vous suivront dans vos folles aventures, vos moments de partage et de découverte gustative ! Avec leurs illustrations paysagées, elles vous feront voyager même installé à la terrasse d’à côté !

Alors, prêts à trinquer ?

📸 Photographe : Laura Jonneskindt

*Source : ADEME Bilans GES, émissions indirectes de gaz à effet de serre
Production de verre : https://bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?verre_et_articles_en_verre.htm
Production de métal : https://bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?aluminium.htm

À la rencontre de la nouveauté Lökki 2022 : le kombucha au chanvre !​

Notre nouvelle recette vous intrigue depuis l’annonce de sa sortie ?

Sa dégustation vous a conquis.e mais vous vous posez des questions sur cette plante ?

Voici de quoi en savoir plus !⁠

Plus que tout autre, ce kombucha vous emmènera en voyage gustatif
infusé d’une plante ayant l’un des spectres organoleptiques les plus riches au monde, j’ai nommé… le Chanvre⁠. ⁠

Tout nouveau, tout beau, notre kombucha au chanvre !

Un kombucha au Chanvre ?

Appartenant à l’espèce Cannabis sativa (famille des Cannabaceae), il existe plusieurs sous-espèces pour en faire une plante aux mille et un usages :⁠ Textile, isolation, construction, cordage, carburant, cosmétique, industrie papetière, agroalimentaire et… psychotrope. Tout est bon dans le chanvre ?

On retrouve aujourd’hui plusieurs dérivés du chanvre dans notre assiette : les graines de chanvre, les protéines de chanvre, l’huile de chanvre (aussi utilisée en cosmétique)…

Le notre est produit en France, dans la Drôme, où il relance une culture millénaire. La sous-espèce que nous infusons est la « Dioïca 88 », généralement employée pour la production de paille et de CBD.

Fun fact : Le houblon appartient aussi à la famille des Cannabaceae. 
Le lien entre brassage et chanvre était tout tracé !

© AFP/Philippe DESMAZES
Nathalie, notre productrice avant-gardiste du chanvre : " Le chanvre importé de l'étranger, on ne sait pas d'où ça vient, ni ce qu'ils mettent dedans. Nous, nous faisons du bio, nous avons une charte à respecter. "

On y vient ! Que contient ce kombucha ?
CBD ? THC ? Poudre de Perlimpinpin ?

Tout d’abord, THC et CBD, késaco ?

Ces deux substances sont naturellement présentes dans la plante du Chanvre.

Le THC est la substance psychotrope du cannabis, c’est ce qui en fait une drogue.
Le CBD, cannabidiol de son nom complet, quant à lui n’est pas psychoactif.

Chez lui, on recherche un effet apaisant voire euphorisant, sans psychotrope ! Il module la quantité d’endocannabinoïdes que synthétise naturellement notre cerveau pour réduire les douleurs et apaiser l’anxiété.

Les taux de THC et de CBD sont très variables d’une sous-espèce de chanvre à une autre. Légalement, la culture autorisée en France ne doit pas dépasser 0,2% de THC. Au-delà, c’est du deal 😎

S’il y a tout ça dans la plante originelle,
qu’en reste-t-il dans notre kombucha ?

Notre kombucha ne contient
ni CBD ni THC :

il s’agit d’une infusion de chanvre. Notre chanvre, contient en lui-même une faible quantité de CBD mais qui n’est pas soluble dans l’eau (uniquement dans les matières grasses). Et notre kombucha ne contient aucune matière grasse, donc aucun transfert n’est possible ! Donc si vous voyez des éléphants roses, ce n’est pas de notre faute !

Max, notre brasseur, si fier de sa production !

Pourquoi ce choix ?

Nous avons choisi cette plante pour son profil aromatique très riche.

À travers nos recettes, nous nous efforçons de proposer une découverte gustative et de partager les propriétés des superaliments, dont le chanvre fait partie.

En bouche, c’est fascinant qu’il nous évoque tantôt le houblon, tantôt la résine de pin, tantôt les herbes fraîches… chacun le perçoit très différemment !

On recommande de conserver tous nos kombuchas à 4°C, mais pour celui-ci, on vous conseillera de le sortir un peu à l’avance et de le déguster plutôt autour des 8°/10°C pour profiter pleinement de tous ses terpènes. On va ainsi retrouver des notes florales et d’agrumes soutenues par un petit goût de noisette ou de sarrasin grillé ! Une expérience vraiment singulière !

Kombucha au chanvre et Kombeercha : nos deux recettes au verre teinté pour protéger leurs saveurs de la lumière !
📸 Photographe : Laura Jonneskindt

Le Chanvre a l’un des profils organoleptiques les plus riches du monde :
on vous explique !

Les molécules odoriférantes produites par les plantes sont appelées « terpènes ».

C’est grâce à elles que certaines plantes ou fruits ont une odeur caractéristique : d’agrumes ou de résine, florale ou herbacée… Très utilisés en parfumerie, ce sont les principaux constituants des huiles essentielles ! Logique. Dans la nature, c’est grâce aux terpènes que certains nuisibles sont repoussés (comme les champignons) et que les insectes utiles sont attirés (comme les pollinisateurs bzzz).

L’aromathérapie se base d’ailleurs sur eux pour en retirer des bienfaits. La pratique apaisante du « bain de forêt » également ! Elle consiste en de longues marches en forêt qui permettent de respirer les effluves de pin et autres conifères… des essences bourrées de terpènes !

Le chanvre contiendrait à lui seul plus de 100 terpènes différents.
Une bombe aromatique, on vous dit !

Les terpènes, tout un monde à découvrir !

Nous, on trouve cette plante un peu magique.

Pas vous ?

Entre escalade et kombucha : interview avec notre ambassadrice Nolwen

Nina et Seb, les fondateurs de Lökki, sont deux grands fans d’escalade. C’est donc en salle de grimpe qu’ils ont pu rencontrer Nolwen Berthier, grimpeuse hors pair, devenue ambassadrice Lökki depuis maintenant 3 ans. Dans cet article, vous découvrirez la vie de grimpeur/se, les différents types d’escalade et par où commencer. Enfin, vous en apprendrez davantage sur le parcours de Nolwen 😉

Qui es-tu et où vis-tu ?

Je m’appelle Nolwen et je vis dans le Sud de la France, près des cigales et du soleil !

Crédit photo : Anthonin Rhodes

Que fais-tu dans la vie ?

En parallèle de la grimpe, j’ai une formation d’ingénieure en énergie et environnement et je mets mes compétences au service de la transition écologique et solidaire en accompagnant la transformation des organisations.

Comment l’escalade est venue à toi ?

A l’âge de 12 ans, après avoir fait plusieurs années de natation, je cherchais un nouveau sport, qui serait plus ludique, et peut-être plus adapté à ma morphologie, mon père m’a proposé d’essayer l’escalade… voilà le résultat !

Peux-tu nous dire quelques mots sur ton parcours jusqu’à présent ?

Théo Cartier

J’ai commencé l’escalade par la compétition il y a une quinzaine d’années : après plusieurs années en Equipe de France, et de nombreux départs en coupe d’Europe et coupes du Monde. Je me consacre maintenant pleinement à la falaise, une pratique plus proche de mes valeurs et de mes envies actuelles, qui me permet de découvrir mon sport sous un nouvel angle, avec de nouvelles sensations et au plus proche de la nature !

Crédit photo : Théo Cartier

As-tu un lieu fétiche où pratiquer l’escalade ?

Le Sud de la France est un lieu vraiment exceptionnel pour grimper en falaise : de l’ambiance vertigineuse du Verdon, aux vallons reculés du Luberon ou de la Drôme, en passant par le bleu à perte de vue des Calanques, nous avons la chance d’avoir un terrain de jeu comme sûrement nulle part ailleurs ! 

Quel(s) type(s) d’escalade pratiques-tu ?

L’escalade est une sorte de combat perpétuel contre la gravité (mais aussi contre soi même), qui se décline sur différents supports (en salle ou en falaise) et à différentes échelles (de quelques mètres de haut pour le bloc, jusqu’à plusieurs centaines de mètres en grandes voies !), ce qui fait de l’escalade une activité très variée, avec de multiples facettes, que chacun peut s’approprier à sa manière, selon son caractère et sa sensibilité du moment.

Ca ressemble à quoi la vie grimpeuse pro ?

Même si mon investissement pour l’escalade est total, je ne suis en réalité pas tout à fait grimpeuse pro car je travaille à 80% à côté, donc cela m’occupe tout de même pas mal de temps ! Dans une semaine classique, le mercredi et le week-end je suis en vadrouille en falaise avec mon van. Parfois c’est à côté de la maison, parfois plus loin selon les saisons, les conditions météo, les envies, etc…  Les autres jours, je complète mon entraînement par 3 à 4 séances en salle (escalade, renforcement, étirements).

Quel est ton prochain objectif ?

Mon prochain objectif s’appelle « SuperCrackinette » et il n’est pas très loin de la fabrique Lökki ! (coïncidence?). C’est une voie extrême de 30 mouvements très intenses sur des petites prises, depuis lesquelles on peut profiter de la vue sur le Mont Ventoux et sur le Toulourenc ! Comme toute voie de ce niveau, c’est un projet de longue haleine : tout cet hiver et ce printemps, j’y ai usé la peau de mes doigts et explosé mes avant-bras, mais je compte bien y retourner dès l’automne, quand le mental sera de nouveau prêt à la bataille et que les conditions météo seront plus propices !

Que conseillerais-tu à ceux qui souhaitent se lancer ?

Voir l’escalade aux JO de Tokyo vous a fait rêver ? Ça tombe bien, l’escalade est un sport accessible à tous ! En salle ou en falaise, encadré ou entre amis, passé le mal de peau et le mal de pieds de la première séance (promis, ça ne dure pas), vous verrez ce n’est que du plaisir ! (ou presque)

Crédit photo : Théo Cartier

Comment as-tu connu Lökki ?

Ma rencontre avec Lökki est avant tout une rencontre humaine avec Seb et Nina, fondateurs et éleveurs de bulles jusqu’au bout des doigts ! Nous nous sommes rencontrés au pied d’un bloc, autour d’une passion commune : l’escalade ! Nous retrouvant traditionnellement en fin de séance autour d’une bière (ou peut être d’un kombucha? en tout cas, c’était pétillant !), nos valeurs et nos questionnements nous ont ensuite rapprochés : comment changer positivement nos activités respectives ? comment faire émerger des pratiques innovantes au niveau environnemental, social, jusqu’au sein même de l’organisation de l’entreprise ? Des échanges enrichissants qui perdurent depuis quelques années maintenant et qui font que c’est un plaisir de représenter ce produit au quotidien, et plus largement cette entreprise et ses valeurs 

A quel moment de la journée / pratique bois-tu du Lökki ?

Rien de tel qu’un bon Lökki bien frais à l’apéro après une journée riche en émotions !

Instagram : @nolwenberthier

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Yoga et Kombucha : le duo ultime by Olivia Moonyoga

Chez Lökki, une des grandes passions de quelques membres de l’équipe est : le yoga ! Dans cet article, Olivia professeur dans ce domaine, nous parle de son premier cours, de ses retraites de yoga, de sa rencontre avec Lökki mais nous livre également ses conseils. Alors si vous aussi vous souhaitez découvrir ou en apprendre plus sur la pratique du yoga, cet article est fait pour vous ! 

Qui es-tu ? Où vis-tu ?

Je m’appelle Olivia Chabut, j’ai 38 ans et je suis professeur de Yoga. Je suis mariée à l’homme dont je suis tombée amoureuse il y a plus de 20 ans et maman d’une ado de 15 ans et d’un petit garçon de 8 ans. Nous vivons tous les 4 à Grasse dans les Alpes-Maritimes.

Olivia, en pleine posture de guerrier 2

Comment le yoga est venu à toi ?

Ma grand-mère pratiquait déjà le yoga et j’ai toujours vu ma mère prendre soin d’elle au travers de cette discipline du corps et de l’esprit. J’ai pris mon premier cours lorsque je suis tombée enceinte, à l’âge de 21 ans. Le professeur m’avait expliqué que je pourrais apaiser mon bébé après sa naissance en continuant de chanter les OM que nous répétions en cours. J’étais fascinée par cette idée de transmission in utero. Mais c’est bien plus tard que j’ai eu envie de me tourner vers l’enseignement.

Quels conseils pourrais-tu donner aux personnes qui souhaitent se lancer dans le yoga ?

Je suggèrerais de se renseigner autour de soi et de demander leur avis aux amis qui pratiquent déjà. Avoir des conseils et retours d’expériences pour choisir le style de yoga vers lequel se tourner peut beaucoup aider (dynamique, doux, traditionnel, plus moderne etc)

De plus, comme pour toute situation d’apprentissage, le côté humain compte beaucoup. Il ne faut pas hésiter à essayer avec plusieurs professeurs, jusqu’à trouver la bonne personne, celle avec qui on se sent à l’aise et en confiance, celle que l’on a envie de suivre sur le chemin merveilleux de la connaissance de soi.

Enfin, surtout pas de pression sur le temps que vous avez à y consacrer. C’est dans la régularité que l’on progresse, 10 minutes tous les matins suffisent à ressentir les bienfaits de la pratique.

Si tu étais une posture de yoga, laquelle ce serait ?

Sans hésiter Sirsasana (c’est le nom sanskrit de la posture en équilibre sur la tête). J’adore avoir la tête à l’envers et défier la loi de la gravité. J’affectionne aussi Virabhadrasana II, un des 3 guerriers. Une fois installée dedans, je me sens stable et solide. Cette posture amène force, détermination et confiance en soi. La première, en équilibre, fait appel à l’élément air, la seconde à l’ancrage et à l’élément terre.

Quels types de yoga pratiques-tu ?

Ma formation initiale est l’ashtanga vinyasa yoga. Un jour un de mes professeurs m’a dit qu’il était important de rester élève toute sa vie. J’ai ainsi découvert le vinyasa krama avec Mika de Brito (@nastyyogi) et le warrior yoga avec Aria Crescendo (@aria.official). J’enseigne donc l’ashtanga, le vinyasa et le warrior.

L’ashtanga fait partie de la famille des yoga dynamiques. Traditionnel et très codifié, ce qui est spécifique à l’ashtanga est la répétition d’une série de postures toujours dans le même ordre. Même si ça peut sembler lassant pour certains, cela permet aux élèves de rapidement s‘approprier les postures et de pouvoir travailler plus en profondeur en étant connecté à soi et moins attentif au professeur. À gagner en autonomie.

Le warrior est une approche moderne et très dynamique du yoga, qui combine cardio, souplesse et équilibre, aide à se débarrasser du stress et donne force et courage. Le warrior est idéal pour les sportifs qui aimeraient pratiquer des étirements mais qui n’osent pas pousser la porte d’un studio par peur de s’ennuyer. Il est tout aussi recommandé aux non sportifs qui cherchent une pratique corporelle dans laquelle ils pourront rapidement progresser. C’est définitivement le yoga de la confiance en soi.

Vinyasa parle de fusion entre souffle et mouvement, ce qui est en fait la base du yoga ! L’approche peut être douce, dynamique, rapide, traditionnelle, en musique etc… En définitive, les cours de vinyasa offrent une grande liberté au professeur quant au contenu de ses cours. Les puristes trouveront cette approche peut-être moins traditionnelle, mais elle est plus moderne et actuel, donc plus accessible aux débutants.

Comment as-tu découvert Lökki ?

Dans ma Biocoop Mougins (@biocoop_mediterranee_mougins) ! J’ai d’abord été attirée par le design des petites bouteilles colorées. Puis après y avoir goûté j’avais envie de toutes les collectionner, ça donne une touche très funky au frigo ! Mais ce qui est le plus drôle, c’est qu’en me renseignant sur la marque, j’ai découvert que dans l’équipe des éleveurs de bulles il y avait Seb, un ami des années lycée ! Quelle belle découverte, j’étais vraiment heureuse pour lui.

 A quel moment de la journée / pratique préfères-tu boire ton Lökki ?

L’idéal est bien sûr après le yoga. Je fabrique mon kéfir et en offre avec joie à mes élèves à la fin des cours. Le processus d’élimination activé par les postures est renforcé par le kombucha et le kéfir. C’est un super combo ! J’aime aussi beaucoup siroter Lökki pendant que je cuisine et prépare le dîner. Consommées avant de passer à table, les boissons fermentées préparent à la digestion. J’adore également en proposer lors de mes retraites de yoga.

Que fait-on durant une retraite de yoga ?

On commence par arrêter de « faire », on « est ». Une retraite est avant tout un moyen de mettre sa « tour de contrôle » sur pause, de débrancher son téléphone et de se laisser porter par un professeur.

Où a eu lieu ton dernier stage et quel était le programme ?

Mon dernier week-end Reconnexion a eu lieu à Valdeblore, dans les montagnes de l’arrière-pays Niçois. Le calme du lieu gagne les participants dès leur arrivée. Sandrine, la maitresse de maison qui reçoit mes stages a l’art de se faire sentir chez soi. Dépaysement assuré !

Au programme, plusieurs pratiques de yoga par jour, méditations, balades et surtout repos ! Les points forts de la journée ne sont que propositions/suggestions. Le programme n’est toujours donné qu’à titre indicatif afin de sortir des « il faut », « je dois » pour expérimenter et faire de la place au « j’ai besoin »…

Passionnée de sport, j’adore y associer le yoga en préparation et/ou récupération. Le prochain stage se déroulera à Arcachon, une semaine de Surf & Yoga où les stagiaires pourront d’ailleurs déguster Lökki après leur session dans l’eau ! En tant qu’ambassadrice je suis très heureuse de faire découvrir le kombucha et le kéfir !

Au plaisir de se rencontrer sur le tapis !

Namasté, Olivia

www.oliviamoonyoga.com.

Instagram : @olivia.moonyoga

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