Étiquette : kombucha
À la rencontre de la nouveauté Lökki 2022 : le kombucha au chanvre !
Entre escalade et kombucha : interview avec notre ambassadrice Nolwen
Nina et Seb, les fondateurs de Lökki, sont deux grands fans d’escalade. C’est donc en salle de grimpe qu’ils ont pu rencontrer Nolwen Berthier, grimpeuse hors pair, devenue ambassadrice Lökki depuis maintenant 3 ans. Dans cet article, vous découvrirez la vie de grimpeur/se, les différents types d’escalade et par où commencer. Enfin, vous en apprendrez davantage sur le parcours de Nolwen 😉
Qui es-tu et où vis-tu ?
Je m’appelle Nolwen et je vis dans le Sud de la France, près des cigales et du soleil !
Que fais-tu dans la vie ?
En parallèle de la grimpe, j’ai une formation d’ingénieure en énergie et environnement et je mets mes compétences au service de la transition écologique et solidaire en accompagnant la transformation des organisations.
Comment l’escalade est venue à toi ?
A l’âge de 12 ans, après avoir fait plusieurs années de natation, je cherchais un nouveau sport, qui serait plus ludique, et peut-être plus adapté à ma morphologie, mon père m’a proposé d’essayer l’escalade… voilà le résultat !
Peux-tu nous dire quelques mots sur ton parcours jusqu’à présent ?

J’ai commencé l’escalade par la compétition il y a une quinzaine d’années : après plusieurs années en Equipe de France, et de nombreux départs en coupe d’Europe et coupes du Monde. Je me consacre maintenant pleinement à la falaise, une pratique plus proche de mes valeurs et de mes envies actuelles, qui me permet de découvrir mon sport sous un nouvel angle, avec de nouvelles sensations et au plus proche de la nature !
Crédit photo : Théo Cartier
As-tu un lieu fétiche où pratiquer l’escalade ?
Le Sud de la France est un lieu vraiment exceptionnel pour grimper en falaise : de l’ambiance vertigineuse du Verdon, aux vallons reculés du Luberon ou de la Drôme, en passant par le bleu à perte de vue des Calanques, nous avons la chance d’avoir un terrain de jeu comme sûrement nulle part ailleurs !
Quel(s) type(s) d’escalade pratiques-tu ?
L’escalade est une sorte de combat perpétuel contre la gravité (mais aussi contre soi même), qui se décline sur différents supports (en salle ou en falaise) et à différentes échelles (de quelques mètres de haut pour le bloc, jusqu’à plusieurs centaines de mètres en grandes voies !), ce qui fait de l’escalade une activité très variée, avec de multiples facettes, que chacun peut s’approprier à sa manière, selon son caractère et sa sensibilité du moment.
Ca ressemble à quoi la vie grimpeuse pro ?
Même si mon investissement pour l’escalade est total, je ne suis en réalité pas tout à fait grimpeuse pro car je travaille à 80% à côté, donc cela m’occupe tout de même pas mal de temps ! Dans une semaine classique, le mercredi et le week-end je suis en vadrouille en falaise avec mon van. Parfois c’est à côté de la maison, parfois plus loin selon les saisons, les conditions météo, les envies, etc… Les autres jours, je complète mon entraînement par 3 à 4 séances en salle (escalade, renforcement, étirements).
Quel est ton prochain objectif ?
Mon prochain objectif s’appelle « SuperCrackinette » et il n’est pas très loin de la fabrique Lökki ! (coïncidence?). C’est une voie extrême de 30 mouvements très intenses sur des petites prises, depuis lesquelles on peut profiter de la vue sur le Mont Ventoux et sur le Toulourenc ! Comme toute voie de ce niveau, c’est un projet de longue haleine : tout cet hiver et ce printemps, j’y ai usé la peau de mes doigts et explosé mes avant-bras, mais je compte bien y retourner dès l’automne, quand le mental sera de nouveau prêt à la bataille et que les conditions météo seront plus propices !
Que conseillerais-tu à ceux qui souhaitent se lancer ?

Voir l’escalade aux JO de Tokyo vous a fait rêver ? Ça tombe bien, l’escalade est un sport accessible à tous ! En salle ou en falaise, encadré ou entre amis, passé le mal de peau et le mal de pieds de la première séance (promis, ça ne dure pas), vous verrez ce n’est que du plaisir ! (ou presque)
Crédit photo : Théo Cartier
Comment as-tu connu Lökki ?
Ma rencontre avec Lökki est avant tout une rencontre humaine avec Seb et Nina, fondateurs et éleveurs de bulles jusqu’au bout des doigts ! Nous nous sommes rencontrés au pied d’un bloc, autour d’une passion commune : l’escalade ! Nous retrouvant traditionnellement en fin de séance autour d’une bière (ou peut être d’un kombucha? en tout cas, c’était pétillant !), nos valeurs et nos questionnements nous ont ensuite rapprochés : comment changer positivement nos activités respectives ? comment faire émerger des pratiques innovantes au niveau environnemental, social, jusqu’au sein même de l’organisation de l’entreprise ? Des échanges enrichissants qui perdurent depuis quelques années maintenant et qui font que c’est un plaisir de représenter ce produit au quotidien, et plus largement cette entreprise et ses valeurs !
A quel moment de la journée / pratique bois-tu du Lökki ?
Rien de tel qu’un bon Lökki bien frais à l’apéro après une journée riche en émotions !
Instagram : @nolwenberthier
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Yoga et Kombucha : le duo ultime by Olivia Moonyoga
Chez Lökki, une des grandes passions de quelques membres de l’équipe est : le yoga ! Dans cet article, Olivia professeur dans ce domaine, nous parle de son premier cours, de ses retraites de yoga, de sa rencontre avec Lökki mais nous livre également ses conseils. Alors si vous aussi vous souhaitez découvrir ou en apprendre plus sur la pratique du yoga, cet article est fait pour vous !
Qui es-tu ? Où vis-tu ?
Je m’appelle Olivia Chabut, j’ai 38 ans et je suis professeur de Yoga. Je suis mariée à l’homme dont je suis tombée amoureuse il y a plus de 20 ans et maman d’une ado de 15 ans et d’un petit garçon de 8 ans. Nous vivons tous les 4 à Grasse dans les Alpes-Maritimes.
Comment le yoga est venu à toi ?
Ma grand-mère pratiquait déjà le yoga et j’ai toujours vu ma mère prendre soin d’elle au travers de cette discipline du corps et de l’esprit. J’ai pris mon premier cours lorsque je suis tombée enceinte, à l’âge de 21 ans. Le professeur m’avait expliqué que je pourrais apaiser mon bébé après sa naissance en continuant de chanter les OM que nous répétions en cours. J’étais fascinée par cette idée de transmission in utero. Mais c’est bien plus tard que j’ai eu envie de me tourner vers l’enseignement.
Quels conseils pourrais-tu donner aux personnes qui souhaitent se lancer dans le yoga ?
Je suggèrerais de se renseigner autour de soi et de demander leur avis aux amis qui pratiquent déjà. Avoir des conseils et retours d’expériences pour choisir le style de yoga vers lequel se tourner peut beaucoup aider (dynamique, doux, traditionnel, plus moderne etc)
De plus, comme pour toute situation d’apprentissage, le côté humain compte beaucoup. Il ne faut pas hésiter à essayer avec plusieurs professeurs, jusqu’à trouver la bonne personne, celle avec qui on se sent à l’aise et en confiance, celle que l’on a envie de suivre sur le chemin merveilleux de la connaissance de soi.
Enfin, surtout pas de pression sur le temps que vous avez à y consacrer. C’est dans la régularité que l’on progresse, 10 minutes tous les matins suffisent à ressentir les bienfaits de la pratique.
Si tu étais une posture de yoga, laquelle ce serait ?
Sans hésiter Sirsasana (c’est le nom sanskrit de la posture en équilibre sur la tête). J’adore avoir la tête à l’envers et défier la loi de la gravité. J’affectionne aussi Virabhadrasana II, un des 3 guerriers. Une fois installée dedans, je me sens stable et solide. Cette posture amène force, détermination et confiance en soi. La première, en équilibre, fait appel à l’élément air, la seconde à l’ancrage et à l’élément terre.
Quels types de yoga pratiques-tu ?
Ma formation initiale est l’ashtanga vinyasa yoga. Un jour un de mes professeurs m’a dit qu’il était important de rester élève toute sa vie. J’ai ainsi découvert le vinyasa krama avec Mika de Brito (@nastyyogi) et le warrior yoga avec Aria Crescendo (@aria.official). J’enseigne donc l’ashtanga, le vinyasa et le warrior.
L’ashtanga fait partie de la famille des yoga dynamiques. Traditionnel et très codifié, ce qui est spécifique à l’ashtanga est la répétition d’une série de postures toujours dans le même ordre. Même si ça peut sembler lassant pour certains, cela permet aux élèves de rapidement s‘approprier les postures et de pouvoir travailler plus en profondeur en étant connecté à soi et moins attentif au professeur. À gagner en autonomie.
Le warrior est une approche moderne et très dynamique du yoga, qui combine cardio, souplesse et équilibre, aide à se débarrasser du stress et donne force et courage. Le warrior est idéal pour les sportifs qui aimeraient pratiquer des étirements mais qui n’osent pas pousser la porte d’un studio par peur de s’ennuyer. Il est tout aussi recommandé aux non sportifs qui cherchent une pratique corporelle dans laquelle ils pourront rapidement progresser. C’est définitivement le yoga de la confiance en soi.
Vinyasa parle de fusion entre souffle et mouvement, ce qui est en fait la base du yoga ! L’approche peut être douce, dynamique, rapide, traditionnelle, en musique etc… En définitive, les cours de vinyasa offrent une grande liberté au professeur quant au contenu de ses cours. Les puristes trouveront cette approche peut-être moins traditionnelle, mais elle est plus moderne et actuel, donc plus accessible aux débutants.
Comment as-tu découvert Lökki ?
Dans ma Biocoop Mougins (@biocoop_mediterranee_mougins) ! J’ai d’abord été attirée par le design des petites bouteilles colorées. Puis après y avoir goûté j’avais envie de toutes les collectionner, ça donne une touche très funky au frigo ! Mais ce qui est le plus drôle, c’est qu’en me renseignant sur la marque, j’ai découvert que dans l’équipe des éleveurs de bulles il y avait Seb, un ami des années lycée ! Quelle belle découverte, j’étais vraiment heureuse pour lui.
A quel moment de la journée / pratique préfères-tu boire ton Lökki ?
L’idéal est bien sûr après le yoga. Je fabrique mon kéfir et en offre avec joie à mes élèves à la fin des cours. Le processus d’élimination activé par les postures est renforcé par le kombucha et le kéfir. C’est un super combo ! J’aime aussi beaucoup siroter Lökki pendant que je cuisine et prépare le dîner. Consommées avant de passer à table, les boissons fermentées préparent à la digestion. J’adore également en proposer lors de mes retraites de yoga.
Que fait-on durant une retraite de yoga ?
On commence par arrêter de « faire », on « est ». Une retraite est avant tout un moyen de mettre sa « tour de contrôle » sur pause, de débrancher son téléphone et de se laisser porter par un professeur.
Où a eu lieu ton dernier stage et quel était le programme ?
Mon dernier week-end Reconnexion a eu lieu à Valdeblore, dans les montagnes de l’arrière-pays Niçois. Le calme du lieu gagne les participants dès leur arrivée. Sandrine, la maitresse de maison qui reçoit mes stages a l’art de se faire sentir chez soi. Dépaysement assuré !
Au programme, plusieurs pratiques de yoga par jour, méditations, balades et surtout repos ! Les points forts de la journée ne sont que propositions/suggestions. Le programme n’est toujours donné qu’à titre indicatif afin de sortir des « il faut », « je dois » pour expérimenter et faire de la place au « j’ai besoin »…
Passionnée de sport, j’adore y associer le yoga en préparation et/ou récupération. Le prochain stage se déroulera à Arcachon, une semaine de Surf & Yoga où les stagiaires pourront d’ailleurs déguster Lökki après leur session dans l’eau ! En tant qu’ambassadrice je suis très heureuse de faire découvrir le kombucha et le kéfir !
Au plaisir de se rencontrer sur le tapis !
Namasté, Olivia
Instagram : @olivia.moonyoga
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